LES UNS CHEZ LES AUTRES
L'auberge espagnole
ou l'art et la manière d'habiter la ville
32e édition du Festival Les uns chez les autres
Les murs sont capables de cette contradiction : enclore et séparer, c'est à dire aliéner, et aussi enclore et rassembler, c'est à dire abriter. Celui qui est abrité peut exister en son être : il habite. Celui qui est séparé des hommes n'habite pas, il ne s'appartient pas. Martin Heiddeger.
Habitants, associations, artistes, institutions municipales de l'arrondissement questionnent les différentes façons d'habiter la ville, le chez soi, le quant à soi , de la vie célibataire aux communautés, des sans abris aux hôtels particuliers, des maisons écolos aux habitats coopératifs, du classique au design, des chambres d'étudiants aux dernières demeures, de l'art dans la ville comme signal de mémoire et de force de symbole pour tous...
Dès 19h00, un parcours de rencontres et d'exposition , la circulation s'organisera selon les règles du hasard, par le biais d'un jeu nomade, le jeu de l'oie.
Avec la participation de : ACERMA, Apur, ATELIERS VILLE, association 3CA, Michel Bérard, Patrick Bezzolato, Anne Brochot, Philippe Bua, Cafézoïde, Cité Internationale Universitaire de Paris, Pierre Faucher, Christine Fleuret, La Galeru (Philippe et Evelyne Chat), HESPERE 21, Haman Mohaman, Tami Notsani, Anne Philippe, Laurent Roth et les étudiants de l'École Nationale Supérieure d'Architecture de Paris La Villette (ENSAPV), Anne-Marie Rodenas, Michèle Rouhet (association contes en chemin), Guy Runel, Clara Simay, Frédérique Theraube, Cie du Vivant des gueux (Jérémy Delafosse, André Fauquenoy).
A quoi pensez-vous ? Anne Brochot Est-ce ainsi que les hommes vivent