4 septembre 2007
Sans affec(ta)tion
Interstices et entre-deux
Ma démarche interroge les espaces du quotidien sans qualité revendiquée, jugés trop banals ou ordinaires pour susciter l'intérêt d'un regard ou justifier que l'on s'y arrête.
On reconnaît des interstices urbains, des espaces aux franges de la ville dense et de sa périphérie, des zones d'activités, des "entre-deux" dévolus à la circulation, des friches en attente d'affection.... L’inventaire de ces fragments ordinaires, mis bout à bout, permet de recréer le sens poétique d’un lieu et de ré-enchanter l’ordinaire de la ville. Le déplacement du regard permet d’envisager un devenir et de nouvelles significations pour ces espaces. Le protocole de prise de vue emprunte au langage de la peinture et privilégie le plus souvent la frontalité, la composition des images joue sur des effets de surfaces, de seuil, d'aplatissement, de croisements de lignes pour arrêter le regard, rendre lisible ce qui était dilué dans la quotidienneté et inviter le spectateur à une reconstruction. David cousin-Marsy-Photographie urbaine
On reconnaît des interstices urbains, des espaces aux franges de la ville dense et de sa périphérie, des zones d'activités, des "entre-deux" dévolus à la circulation, des friches en attente d'affection.... L’inventaire de ces fragments ordinaires, mis bout à bout, permet de recréer le sens poétique d’un lieu et de ré-enchanter l’ordinaire de la ville. Le déplacement du regard permet d’envisager un devenir et de nouvelles significations pour ces espaces. Le protocole de prise de vue emprunte au langage de la peinture et privilégie le plus souvent la frontalité, la composition des images joue sur des effets de surfaces, de seuil, d'aplatissement, de croisements de lignes pour arrêter le regard, rendre lisible ce qui était dilué dans la quotidienneté et inviter le spectateur à une reconstruction. David cousin-Marsy-Photographie urbaine
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